maison close grenoble

La ville de Grenoble est célèbre pour ses montagnes, ses infrastructures sportives et ses universités. Toutefois, peu de gens savent que cette ville a également une histoire riche en matière de maisons closes. Cet article vous fera découvrir les secrets cachés des maisons close grenoble, leur vérité et l’histoire orale qui les entoure.

Maisons close grenoble : un passé méconnu

Si aujourd’hui la prostitution dans la rue est souvent associée à Grenoble, il n’en a pas toujours été ainsi. Dans les années 1800, les maisons closes étaient florissantes au sein même de la ville. Des dames de compagnie y recevaient leurs clients, dans un cadre presque luxueux, évoquant parfois le Versailles du roi Soleil ou bien un salon parisien du XIXème siècle.

Un phénomène pris en compte par les autorités locales

Au fil du temps, les maisons close grenoble se sont multipliées, notamment en raison du développement économique et industriel de la région. Face à ce constat, les autorités publiques ont choisi de réglementer la prostitution afin d’assurer l’ordre public et la santé des acteurs concernés. Ainsi, des règles strictes encadrant la tenue des maisons closes et le travail des prostituées ont été mises en place dès le début du XXème siècle.

Le paysage des maisons closes à Grenoble

Durant les années 1900, on comptait près de 15 maisons closes dans la ville de Grenoble. La plupart d’entre elles étaient situées dans le centre-ville, notamment dans les quartiers animés et fréquentés par la population locale et touristique. Parmi les plus célèbres établissements grenoblois, il y avait notamment Le Sphinx, l’une des grandes références en matière de prostituées haut de gamme.

La réglementation des maisons close grenoble

Les autorités locales ont donc très tôt cherché à encadrer la prostitution et les activités des maisons close grenoble. Une série de règles et de licences a été instaurée, limitant leur nombre, organisant les services proposés ou encore contrôlant les tenancières et les filles de joie.

Les précautions sanitaires

Parmi les mesures mises en place, une attention particulière était portée à la santé des prostituées et de leurs clients. Un dispositif médical spécifique était ainsi mis en œuvre pour assurer la prise en charge sanitaire des professionnels. Les filles étaient soumises régulièrement à un contrôle médical.

Les obligations légales

Au-delà de ces aspects sanitaires, les autorités demandaient aux maisons close grenoble de se conformer à diverses obligations. Par exemple, elles devaient posséder une licence délivrée par les pouvoirs publics, afficher clairement les tarifs des prestations offertes et respecter des horaires d’ouverture et de fermeture. Les tenancières devaient également s’acquitter de taxes spécifiques liées à la nature de leur activité.

La fin des maisons close grenoble

Bien que les maisons close grenoble aient connu une certaine prospérité durant une période, l’évolution de la société et les lois sur la prostitution ont conduit à leur disparition progressive. En 1946, après la Seconde Guerre mondiale, les autorités françaises votent la loi Marthe Richard qui interdit les maisons closes dans tout le pays.

L’héritage des maisons close grenoble

Cependant, il faut souligner que les anciennes maisons close grenoble n’ont pas totalement disparu du paysage urbain. Certaines d’entre elles ont été transformées en restaurants, bars, hôtels ou lieux culturels, perpétuant ainsi leur mémoire et leur histoire. Par exemple, l’ancienne maison close Le Sphinx est aujourd’hui un restaurant gastronomique réputé.

Vers une résurgence des maisons close grenoble ?

Depuis quelques années, plusieurs voix s’élèvent pour demander l’ouverture de nouveaux établissements similaires aux maisons close grenoble. Certains plaident pour un encadrement légal et sanitaire de la prostitution, tandis que d’autres espèrent simplement retrouver l’intimité et la discrétion des anciens bordels pour leurs relations tarifées.

L’influence des pratiques européennes

Le débat sur les maisons close grenoble est également alimenté par les modèles étrangers. En effet, certains pays voisins de la France autorisent légalement ce type de commerces et leur législation inspire parfois les partisans d’une réouverture des bordels français.

Les nouveaux types de maisons closes

Certaines initiatives ont déjà vu le jour pour satisfaire cette demande. On trouve notamment à Grenoble différents salons de massages parlors proposant différentes formules de prestations plus ou moins explicites. Les avancées technologiques comme les poupées en silicone ont également provoqué l’apparition de lieux de loisirs consacrés aux relations intimes avec des partenaires artificiels.

Un sujet qui reste tabou et délicat

Pour conclure, il est important de rappeler que le débat sur les maisons close grenoble et, plus généralement, sur la prostitution fait partie intégrante de l’histoire de la ville et de la société française.

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